Oui, la chaleur lacérait le coeur. Et seule lui résistait, entière, vierge, l’envie de la mer. Publié le 4 juillet 2015 par marieverone Anse de Malmousque, Marseille, Provence-Alpes-Côte d’Azur (« Les petits chevaux de Tarquinia », de Marguerite Duras) Publicités Partager :TwitterFacebookPinterestWordPress:J'aime chargement… Sur le même thème