Pourquoi donc avons-nous des pieds et non des racines, si nous sommes fixés comme de misérables plantes à un point que nous ne pouvons quitter ? Publié le 4 février 2016 par marieverone Opéra national de Paris, Palais Garnier, Paris 9ème (« Correspondances 1814 – 1848 », de Victor Hugo) Publicités Partager :TwitterFacebookPinterestWordPress:J'aime chargement… Sur le même thème