L’enfance vivante en nous, c’est une autre chose. Une expérience de pure intensité, une sorte de drogue rare qu’une fois goûtée on a du mal à oublier. Une charge d’esprit qui procure une légèreté comparable à l’ivresse et une créativité intacte. Publié le 16 novembre 2017 par marieverone V., il y a (très) longtemps, dans une baignoire. Déjà. (« Eloge du risque », de Anne Dufourmantelle) Publicités Partager :TwitterFacebookPinterestWordPress:J'aime chargement… Sur le même thème