La transition, elle te pardonne rien, elle te brouille toute ambition, elle te plante dans la solitude du champ de coton, sans te laisser le choix, elle t’oblige à la soumission du poids des heures ingrates comme un coureur de fond. Publié le 18 février 2018 par marieverone Irving Penn, Parvis de la Gare de Lyon, Paris 12ème (« La Transition », de Buridane) Publicités Partager :TwitterFacebookPinterestWordPress:J'aime chargement…
Toutes les illusions de la mémoire, tous les rapports ardents du silence et des rêves, tous les chemins vivants, tous les hasards sensibles, je suis au coeur du temps et je cerne l’espace. Publié le 4 février 2018 par marieverone Square Maurice Gardette, Paris 11ème (« L’amour la poésie », de Paul Eluard) Partager :TwitterFacebookPinterestWordPress:J'aime chargement…
On fait pas gaffe et puis un jour on se réveille et les choses ont changé de place. Publié le 28 janvier 2018 par marieverone Rue Saint-Maur, Paris 11ème (« De battre mon coeur s’est arrêté », de Jacques Audiard) Partager :TwitterFacebookPinterestWordPress:J'aime chargement…
Mais c’est oublier que ce ne sont pas des esprits qui se choisissent, mais des corps, de manière instinctive, inconsciente. Le secret de l’amour ne repose surtout pas sur un choix réfléchi, après avoir pesé les qualités et les défauts de l’autre. Publié le 20 janvier 2018 par marieverone L’Eternelle idole, Sculpture d’Auguste Rodin, photographie extraite d’Erotica, une anthologie littéraire et artistique (« Lâcher prise avec Shopenhauer », de Céline Belloq) Partager :TwitterFacebookPinterestWordPress:J'aime chargement…
Rêve, de choses un peu mauvaises, de douleurs qui apaisent, de gestes qui déplaisent. Rêve, de marcher sur la braise. Publié le 16 janvier 2018 par marieverone Avenue de la République, Paris 11ème (« Désirs interdits », de Laurie Darmon) Partager :TwitterFacebookPinterestWordPress:J'aime chargement…
Résiste, prouve que tu existes, cherche ton bonheur partout, va, refuse ce monde égoïste, résiste, suis ton cœur qui insiste, ce monde n’est pas le tien, viens, bats-toi, signe et persiste. Publié le 9 janvier 2018 par marieverone Paris 20ème (« Résiste », de France Gall) Partager :TwitterFacebookPinterestWordPress:J'aime chargement…
Bonjour tristesse, comment m’as-tu trouvée ? J’avais pris soin, pourtant, de ne me révéler jamais au grand jour de tes armes. J’avais installé une alarme. Publié le 7 janvier 2018 par marieverone Avenue de la République, Paris 11ème (« Bonjour Tristesse », de Laurie Darmon) Partager :TwitterFacebookPinterestWordPress:J'aime chargement…